Brocard, Lucie, Haoua Lamine, et Morgane Gueguen. « PLD_075_0011 », Plein droit, vol. 75, no. 4, 2007, pp. 11-14.
Peu de femmes se voient accorder une protection au titre de l’asile en raison des violences spécifiques qu’elles subissent en tant que femmes. Considérées comme relevant de la sphère privée, ces violences ont longtemps été exclues du domaine d’application de la Convention de Genève. Même si, depuis peu, les choses changent, les femmes sont protégées comme victimes et non comme sujets luttant pour leur liberté.